Ce matin, nous prenons la douche à la caserne. Elle se fait avec un seau d’eau. Mais que c’est bon !😂
Objectif de la journée : acheter une carte SIM pour le téléphone de Brigitte. Nous trouvons une boutique Movistar dans un centre commercial de Maracaibo. Service assez rapide. Mais, revenus à Trottinette, impossible de partager la connexion ( = impossible de connecter l’ordinateur et le téléphone de Bruno).
Retour chez Movistar. Il manquait un réglage dans les paramètres de Movistar. La vendeuse a appris quelque chose aujourd’hui. 🤣
Le sport de la traversée du Venezuela va être de trouver du gasoil. Tous les étrangers ont des problèmes. Ça va nous rappeler la Bolivie.
Énormément de voitures sont de vielles américaines des années 70 et fonctionnent à l’essence. Seuls les bus et les camions fonctionnent au gasoil.
Nous en trouvons en entrant dans Maracaibo.
Contrairement aux villages du nord de la Colombie où les ordures sont au bord de la route principale, au Venezuela les villages sont propres. Le plus surprenant, c’est Maracaibo. Il y a de grands tas d’ordures partout. Rien n’est ramassé, ou alors tous les 36 du mois. Répugnant.
Au cours la journée, sur la route, nous passons un douzaine de contrôles de police. Nous avons confirmation que nous sommes suivis. Pour ce faire, lors des changement de provinces, nous avons droit à la même fouille qu’à la frontière, les mêmes photos, les mêmes chiens renifleurs.
Nous bivouaquons sur la place de Dabajuro, devant les pompiers.