Départ pour continuer la visite de la cote Atlantique.


Nous faisons un tour dans le village.



Sur la route, nous longeons les Lençóis Maranhences. Le sable encombre la chaussée.


A une intersection, un panneau indique des plages. A tout hasard, nous bifurquons. Nous nous retrouvons au milieu des champs d’éoliennes. En quantité, c’est comparable à l’Aube, au nord de Troyes. Les vents, ce sont les alizés, connus des marins pour leur régularité et leur puissance.
Finalement, nous arrivons à des paillotes au bord de l’Atlantique.

Nous nous baignons, la température est agréable. Seul bémol, le courant latéral qui nous oblige à rester près du bord pour pouvoir s’amarrer au fond avec les mains et les pieds.

Nous bivouaquons sur place à l’abri du vent, derrière une paillote.