Journée de visite de l’Institut Inhotim.
Ce musée se trouve dans un jardin botanique de 140 hectares. Les œuvres sont présentées dans des salles disséminées dans ce parc ainsi que dans la verdure. Des voitures électriques permettent de se déplacer tranquillement.
Nous n’avons pas eu la lassitude ressentie dans une visite de musée traditionnel, car le temps nécessaire pour aller d’un bâtiment à l’autre permet au cerveau de se reposer et d’assimiler ce qu’il vient de voir. De plus, le jardin étant agréable, on refait le plein d’énergie.



Cette galerie comporte 2 salles dans lesquelles on est immergé dans le décor.

La Chambre Végétale de Cristina Iglesias : on entre dans ce labyrinthe fait de murs incrustés d’éléments végétaux, feuilles et corolles. Le bâtiment est intégré dans la forêt.


Galerie Cosmococa de Hélio Oiticica et Neville D’Almeida.
Cette galerie comporte 5 salles distillant des ambiances différentes.








Galerie Psicoativa : regroupe des productions de Tunga. « Que c’est triste Venise » accompagne une des œuvres.




Sur les murs de la Galerie Praça, à gauche, une cérémonie religieuse mélangeant les traditions africaines et le christianisme.
A droite, un autocar dans une gare routière, symbole de lieu de relations sociales subies.

Valeska Soares : Folly.
L’extérieur fait de miroirs permet d’intégrer le bâtiment dans la nature.

L’intérieur est lui aussi fait de miroirs. Le spectateur est plongé au cœur du spectacle.







super ce parc , c’est beau la nature….et ont la détruit !!