M’ 11/06/25 : Totness – Saint Laurent du Maroni

Nuit calme sur le parking de la station-service, la musique d’ambiance s’étant arrêtée à sa fermeture.

Prochaine étape : Paramaribo, capitale du Suriname.

Nous trouvons une place sur un parking proche du palais présidentiel. Un militaire vient nous demander de ne pas rester là. Gentiment, il nous trouve une place à proximité. Étonnant 😃
Motif : le président va arriver et plusieurs voitures vont se garer sur ce parking.

I love Suriname

Nous visitons la ville, toute teintée de son passé colonial batave. On retrouve la propreté de ce pays voisin du nôtre.

Palais présidentiel
Cabinet présidentiel

Mème les bâtiments abandonnés sont « entretenus ». Ils ne sont pas laissés à l’abandon. On se dit qu’il suffirait d’un rien pour que la vie y reprenne. Ils témoignent d’un passé que le pays veut entretenir.

Bâtiment abandonné
Maisons coloniales

Nous avons toujours un pincement au cœur lorsque nous voyons notre drapeau français.

24 drapeaux dont le nôtre ❤️
Assemblée Nationale
Maison de la Justice, anciens bâtiments
Maison de la justice, nouveaux bâtiments

Pour pénétrer dans la cathédrale, il faut avoir les épaules couvertes. Sa tenue n’étant pas conforme, Brigitte ne pourra voir l’intérieur que depuis le fond et ne pourra pas aller jusqu’au chœur. Pas grave, car la particularité de la nef réside dans l’appareillage en bois qui recouvre plafond, murs et colonnes

Cathédrale Saint Pierre Saint Paul
Nef de la cathédrale

La tolérance prend forme dans le proche voisinage de la synagogue et de la mosquée.

Synagogue
Mosquée Keiserstraat

Nous rencontrons des français originaires de Montauban qui viennent se « ressourcer » au Suriname. C’est courant en Guyane, ils retrouvent les feux rouges, une ambiance européenne, … disent-ils.

Entre compatriotes
Un carillon nous rappelle ceux du Nord
Maison coloniale
Cette image a un attribut alt vide ; le nom du fichier est IMG_5911-1024×576.jpg Hôtel moderne et grand, il y a bien longtemps qu’on en avait vu un de cette taille

Nous reprenons la route en franchissant le Suriname River.

Sur le pont, on domine la ville
Magasin tenu par des asiatiques, comme très souvent rencontré dans ce pays
Des crevettes à l’envie, sans frigo par 30°C …
Vers la frontière et le Maroni

La route revient dans la forêt, la pluie revient aussi.

Nous arrivons à Albina, pensant passer une dernière soirée dans ce pays.
La douanière nous dit que nous pouvons embarquer sur le dernier ferry. Il y a 8 places et nous sommes les huitièmes.
Nous faisons les formalités de sortie, encore une fois sans informatique.

Le ferry charge les 7 voitures sans faire attention que nous sommes un peu plus encombrants qu’une voiture normale. Pas de problème ! Il part avec les 7 et reviendra nous chercher ensuite.
40 minutes plus tard, nous embarquons à destination de Saint Laurent du Maroni.

Adieu Suriname
Seuls

Les policiers et les douaniers sont partis. Il reste à payer la traversée. Les panneaux demandent de payer en CB, mais le TPE ne fonctionne pas. Heureusement nous avons suffisamment d’Euros.

Finalement, les douaniers reviennent et nous orientent sur la caserne de la police pour bivouaquer, laquelle police nous donne l’autorisation de stationner sur leur parking.

Le Maroni et le Suriname en face


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