Nous enchaînons les kilomètres, jusqu’à Imperatriz.
Pour rompre la monotonie, les champs laissent la place à des plantations d’arbres qui alimentent une papeterie.


A Imperatriz, nous nous posons sur la place jouxtant un lac. Elle est vide.
Vers 18 heures, le parking se remplit, la musique monte dans les décibels. Nous sommes samedi et nous nous doutons que la nuit va être chaude.

Les basses les plus fortes viennent de l’autre côté du rio.

La place est le lieu de sortie des habitants. Ils pique-niquent, se promènent, papotent, écoutent de la musique. Plusieurs personnes nous posent des questions sur notre voyage.


Nous nous couchons vers 23 heures, alors que la place se vide.